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5 raisons de créer une commission écologie dans son CSE

5 raisons de créer une commission écologie dans son CSE

🏗️ Se structurer : la création d'une commission écologie au sein du CSE peut permettre de formaliser et de pérenniser un espace de travail et d’expérimentation, de débat contradictoire et de délibération autour de la transformation écologique et sociale de l’entreprise, mais aussi d’y dédier le temps et les moyens nécessaires. Elle peut aider également les élu·es CSE à organiser leur travail autour des actions liées à l'écologie dans l'entreprise.

👩‍🎓Se former : la création d’une commission écologie est l’occasion d’organiser la montée en compétences des élu·es sur ces enjeux par des formations adaptées. Par ailleurs, les élu·es peuvent y jouer un rôle important pour s’assurer que l’entreprise fait bien évoluer les parcours de compétences des salarié·es pour y intégrer les enjeux écologiques et notamment climatiques.

Mobiliser : une commission écologie peut éventuellement intégrer des salarié·es non élu·es qui souhaitent s’engager sur les enjeux de transformation écologique et sociale. Cela peut permettre d’agir positivement sur l’engagement des salarié·es et ainsi améliorer la qualité de vie au travail, le climat social.

📢 Démocratiser le débat sur la transformation écologique : si la loi Climat et Résilience a légitimé la voix des élu·es CSE sur les enjeux environnementaux, une commission écologie peut permettre d’ouvrir et de rendre visible le débat sur la transformation écologique et sociale de l’entreprise pour l’ensemble des salarié·es. Elle peut permettre aussi aux salarié·es et aux élu·es de s’exprimer sur la façon dont ils ou elles souhaitent que ces enjeux soient traités.

🎯 Challenger : cette commission écologie peut aussi permettre de pointer les manquements sur les enjeux écologiques mais aussi accompagner l’entreprise pour qu’elle s’améliore et opère les bons choix afin de respecter les limites planétaires, tout en gardant en ligne de mire les aspects sociaux des conditions de travail et de l’organisation du travail, car l’un ne devrait plus être décidé sans l’autre.